à l’oreille





Way : câble modulation symétrique Silver 4+

Substance+ 

Par LeBeauSon - Janvier 2022


Perception d’ensemble

Le câble modulation Way Silver 4 + place l’auditeur au milieu d’une fête. 

Les évènements, par son entremise, sont plus spectaculaires, l’ambiance plus vivante et plus joyeuse lorsque la musique s’y prête. Question plaisir direct, il renvoie la musique à ce qu’elle contient de primitif et qui nous touche tous. Le sucre est plus sucré, le relief plus accentué, l’énergie plus entraînante, etc.

À la manière d’un réhausseur de goût, il « booste » notre perception.

DIAMs 6 Vert

Code couleur pour ce banc d’essai : Vert, même si le ratio est moins significatif que pour une électronique ou une enceinte. Prix de la paire de câbles en 1 m : 1250 €

WAY Modulation 8

WAY Cables est une entreprise fondée en 2013 par Miroslav Popovic et basée à Belgrade en Serbie.

Fabriqués sur cahier des charges strict, les câbles Way sont pensés pour amortir les vibrations, limiter les bruits et interférences électriques. La marque s'impose de rigoureux contrôles de qualité à différentes étapes de la production. 

Vu son nom, le câble de modulation Silver 4+ - testé ici dans sa version symétrique – pas bien compliqué de comprendre que le fabricant serbe a largement fait usage du métal noble que pourtant beaucoup craignent :

- Le conducteur principal est fait d’une âme massive en Argent cristallin 5N. 

- Les terminaisons XLR sont en cuivre OFC plaqué argent, alors que celles de la version RCA sont carrément en argent pur. 

- Et logiquement les soudures sont faites avec une préparation sans plomb à haute teneur en argent. 

Monomaniaque ? 

Jusqu’au-boutiste dirons-nous plutôt. 

Quand on tient une idée…

Comme sur les autres produits de la gamme testés en parallèle (un câble secteur et un câble HP), on retrouve la gaine en toile coton rouge qui enrobe l’isolant. Couleur rouge et diamètres extérieurs (16 mm en RCA et 18 mm en XLR) en font des produits pas exactement discrets. Fort heureusement, ils restent très souples. 

Signature des productions de la marque, un anneau en bambou porte le logo Way et le sens de branchement. Oui, bon, en XLR on a peu de chance de se tromper de sens de branchement.

Le fabricant annonce un temps de rodage assez long, de l’ordre d’une centaine d’heures.

Le prix ? 1250 € en 1 m

Voilà pour la description…

Vérifions si tout cet argent fait notre bonheur !

Et pour ce faire, nous utiliserons une procédure de vérification de nos impressions par des allers-retours avec :

- d’un côté un câble d’un bon standard, bien fait et tout à fait correct proposé par un grand fabricant international à 240 € la paire prix standard.

- un de nos référent dans une zone de prix pas trop différente (environ 1 000 €)

Ceci afin de vérifier tel ou tel point d’analyse.

Ecoutes menées sur DAC Eera Majestuoso 2, Atoll DAC300, Accuphase DG68, AVM 3.2, Accuphase E380, Cadence « ++ », Living Voice R25, Absolue Créations, Legato, Nodal, Mudra.

WAY Modulation 7
 

Scène sonore :

Auditeur A : entamons notre test, en écoutant le Chœur de Radiodiffusion bavaroise, accompagné de l’Orchestre de la Radio de Munich dirigé par Ivan Repušić interprétant le Requiem Croate Glagolitique d’Igor Kuljerić (1938-2006), suivi de L’Hymne à la liberté de Jakov Gotovac (1895-1982), œuvres contemporaines de compositeurs croates. 

La soprano Kristina Kolar, la mezzo-soprano Annika Schlicht, le ténor Éric Laporte ainsi que le baryton Ljubomir Puškarić, s’illustrent sur ces œuvres typiques de la dramaturgie romantique slave.

Enregistré en concert, le Requiem s’inspire du conflit qui marqua, après la chute du mur de Berlin, la déchirure dans le sang entre la naissante Croatie et la Yougoslavie.

Dans le prolongement de cette œuvre puissante et romanesque, l’Hymne à la liberté de Jakov Gotovac, mal enregistré en studio, propose une sorte de conclusion comme un espoir dans la construction d’une ère nouvelle, une bouffée d’air pas bien adroite tant l’œuvre paraît mièvre. Mais on comprend l’hommage fait aux compositeurs croates, puisque Jakov Gotovac fut le chef d’orchestre de l’Opéra National Croate de Zagreb pendant plus de 30 années.

Avec un honnête câble standard, la scène sonore manque de relief, les pupitres sont amalgamés tout comme les différentes parties du chœur. Les sopranos, barytons et ténors émergent indistinctement de cette confusion, sauf lorsqu’ils s’expriment seuls, orchestre muet. La scène sonore est suggérée mais peu convaincante.

Passons au Way.

Instantanément, l’œuvre gagne en relief, les impacts sur les percussions et les cloches sont impitoyablement plus nets. Les instruments de l’orchestre se détachent enfin. Les chanteurs s’avancent sur scène, à quelques mètres devant le chœur dont la répartition par ambitus devient évidente. Sur les forte, la confusion entre pupitres et chœur s’estompe pour proposer un paysage mieux structuré et des musiciens plus vivants.

Changeons de registre avec l’album Fever Dreams de Villagers.

Conor O’Brien et ses camarades accouchent, pendant l’année 2020, d’un album pop-folk élégant et sophistiqué, joliment produit, associant mélodies sucrées et mélancoliques, sur lesquelles aux piano et glockenspiel, s’ajoutent des violons et un saxophone. 

Chaque instrument prend place sur la largeur sans erreur en profondeur. Des reliefs internes apparaissent même, offrant une traduction plausible du volume des instrumentistes.

Conclusion Auditeur A :

Grâce au câble modulation Way, une scène sonore se construit en relief tant en largeur qu’en profondeur. Les premiers plans allégoriques semblent émerger des enceintes, comme mis en exergue. 

DIAMs 6 Vert

 

 

Auditeur B : de mon côté sur le Requiem de Kuljerić (œuvre qui ne tient pas vraiment la longueur, un peu systématique pour ne pas dire hystérique par moment et fatigante) j’ai parfois la sensation que l’ensemble des intervenants, très prégnants, a pris une place de façon un peu militaire dans mon salon, sur un enregistrement que je sais plus atmosphérique, imbibé de réverbérations ici un peu écourtées.

La sensation n’est pas désagréable du tout et peut même doper des systèmes un peu éteints, mais il faut le savoir.

Pour rester dans les noms que personne ne sait écrire, l’œuvre pour piano de Alexeï Vladimirovitch Stantchinski par Witold Wilczek procure là encore l’impression d’être plus près du Stein(Way), qui est de fait aussi plus balèze que parfois ; et pourquoi pas, soit ; mais, de cette prise de possession de votre pièce, il n’est pas impossible que quelques souplesses de délié fassent les frais.

DIAMs 5 Vert

WAY Modulation 5

Richesse des timbres et équilibre tonal :

Oditeura : toujours en écoutant le Requiem Glagolitique avec les câbles « modestes », les timbres ont un côté un peu blanchi, au sens de délavé. Voix comme instruments de l’orchestre sont ramenés à une représentation convenue sans réelle personnalité. L’équilibre tonal général est concentré sur la zone médium, aiguë et grave sont passablement en retrait. 

Le passage au Way expose une palette de timbres évidemment plus étoffée. 

Alors qu’on appréciera particulièrement la rugosité et l’épaisseur des matières, on regrettera un léger manque d’éclat et de variété chromatique notamment sur les instruments à cordes.

L’aigu et le grave sont désormais intégrés au reste du spectre de manière homogène, jamais mis en exergue par défaut ou excès. La comparaison avec le câble standard penche en toute logique en faveur du Way qui, s’il donne le sentiment de ne pas explorer complètement les extrémités de l’aigu et du grave (mais peut-être n’est-ce qu’un sentiment, précisément), propose un équilibre tonal plus proche du réel, plus varié et plus neutre. 

Les voix des chanteurs s’enrichissent, sensiblement mieux incarnées. Elles se différencient immédiatement les unes des autres. Le chœur scindé en pupitres distincts en puissance et complémentarité harmonique s’apprécie enfin.

Et alors que via une paire de câbles moins rigoureux sur l’opus des Villagers, la fragilité, la légèreté des instruments n’est qu’à peine ébauchée, « suggérant » plus que « offrant », au point que les dissonances sur le fil des sonorités d’instruments désaccordés prennent le dessus sur les harmoniques et font de l’écoute un instant aigre-doux limite désagréable, le Way nous remet sur la route (ouais, bon elle était facile, celle-là) : chaque instrument retrouve densité et couleurs. Les dissonances s’enrichissent pour trouver un juste équilibre entre harmonie et bizarreries chromatiques. Des jeux de matières organiques étoffent les mélodies, le timbre rugueux d’une guitare saturée apparaît sans ambiguïté. Les notes de glockenspiel résonnent étincelantes, en suspension dans le temps. Le saxophone gagne en chaleur. 

Conclusion : le Silver 4 +, sans brillance artificielle, offre une étendue mesurée, mais louable de nuances et de matières. Les œuvres gagnent immédiatement en intérêt. 

Néanmoins, il nous manque un supplément de délicatesse ou de ciselé pour nous convaincre entièrement, cependant que l’équilibre tonal globalement droit et stable permet de vivre de longues écoutes avec gourmandise.

Oditeur B : je partage l’analyse de l’auditeur A. Le plaisir est incontestable mais tout est un peu « forci », affirmé, au point que Boy George (c’est pas une blague) dans God & Love (fort joli titre extrait de l’album Life, vite lassant) dont la voix s’est indubitablement éraillée et même enrayée avec le temps, revêt soudain la virilité de Seal.

Honnêtement, ça le fait, mais il ne faut pas en abuser.

L’équilibre est, parallèlement aux précautions exprimées, tout à fait homogène, cette Gestalt-théorie ne passant pas par une zone décalée dans le spectre, mais plutôt par une exhibition de testostérone qui peut arriver à gommer quelques subtilités de teintes, là aussi toutefois avec une telle confiance en soi qu’on ne s’en rend compte que pour avoir écouté beaucoup de câbles.

Autrement dit, ce câble, en la matière est un choix assumé, pas une usine à erreurs.

Équilibre tonal

DIAMs 5 Vert

 

 

Richesse des timbres 

DIAMs 5 Vert

 

 

 

Qualité du Swing, de la vitalité et de la dynamique :

L’Orchestre de la Radio Norvégienne dirigé par Christian Ihle Hadland a publié en 2019 (chez Lawo Classics) un recueil de concertos de Francis Poulenc. 

 On retrouve à l’écoute les caractéristiques déjà citées sur les autres critères : une scène en relief, des instruments solidement représentés, parfois de manière avantageuse, plus grands que nature. On apprécie une tendance à la corpulence qui finalement ennoblit la perception des instruments et de leurs timbres naturels.

Le Silver 4+ montre un enthousiasme de tout instant. 

Ainsi, le premier mouvement (Allegro ma non troppo) du Concerto pour deux Pianos dans les premières mesures est vertigineux de vivacité ; le Concerto en sol mineur, dernier chapitre du disque, est gonflé de fierté par les câbles Way. L’orgue colossal impose un contraste marquant avec des violons pourtant très affirmés. Dès que le tempo s’accélère, le plaisir pointe le bout de son nez. Le Silver 4+ semble apprécier les grandes cavalcades.

Pour autant, le suivi de microcellules rythmiques internes semble légèrement ankylosé. Si on ressent l’énergie, l’envie rottweilerienne de montrer les crocs lorsque la musique le réclame, volupté ou flexions qui enluminent le thème, nuances alertes des violons, notes légères d’un piano joueur souffrent quelque peu d’une forme légère de systématisme, d’un possible manque de vélocité dopant les rebonds.

Auditeur B : sur un disque qui n’en manque pas (Louise par Emile Parisien, Theo Lee Croker, Manu Codjia, Roberto Negro, Joe Martin et Nasheet Waits), l’énergie transmise par le Way, si elle semble inépuisable, érode parfois des accents de ponctuation, des variations rythmiques ou organiques internes pour convaincre totalement. Le Silver 4+ offre en revanche un sentiment de présence remarquablement réjouissant, à défaut d’un swing suffisamment chaloupant pour transformer un très bon danseur en champion de contorsions ou de maestria.

Auditeur A (le retour) : cette tendance à l’opiniâtreté plus qu’à la souplesse s’illustre également sur le disque, Combo 66de John Scofield et de ses camarades de jeu, à savoir le batteur Bill Stewart, le bassiste Vincente Archer, ainsi que l’organiste Gerald Clayton. 

On se laisse gagner rapidement par l’allant général qui accompagne les compositions. L’écoute est entraînante, saupoudrée de bonne humeur. 

Pourtant les entrechats ludiques d’un groove radieux sont moins évidents que ce que procure notre câble de référence, par ailleurs moins démonstratif.

En revanche, la redescente vers les câbles de modulation modestes s’accompagne d’une perte de plaisir et surtout d’entrain. Tout semble plus morne, lesté par des bouts de cuivre assassins. On devient passif spectateur. Dans ce sens-là, c’est cruel, car, je le répète, ce ne sont pas des mauvais câbles.

Vitalité DIAMs 6 Vert

Dynamique DIAMs 6 Vert

Swing DIAMs 5 Vert

WAY Modulation 4

Réalisme des détails :

Auditeur A : toujours en compagnie du Quartet de John Scofield, on a plaisir à déguster le grain de son Ibanez dans une tessiture réaliste et savoureuse. L’éclat des cymbales de Bill Stewart brille de tous feux. L’orgue trouve même ici des modulations d’intensité et de couleurs, particulièrement appréciables à côté de la guitare du patron. 

Par la mise en valeur d’une densité un poil dopée, le Way Silver 4+ assène une retranscription des corpulences plutôt flatteuse, voire aguicheuse… 

NB auditeur B : Combo 66 de John Scofield ayant à peu près la même fraîcheur que la fameuse route du même nom (on parle quand même de John Scofield !), la faculté du câble Way à impliquer les musiciens dans un espace conquis évite à cette musique de bar enfumé, destinée à des nostalgiques rendus léthargiques par une bonne dose de rye whiskey (des connaisseurs, décidément), de rester vers les 10 PM au lieu de basculer vers l’engourdissement des 2 AM. Pas inintéressant.

Auditeur A : l’auditeur B ne respecte rien ni personne, mais ce n’est pas nouveau. En forme de conclusion, je dirai donc que si les finesses ne sont pas ce par quoi ce câble s’illustre le plus, on pardonne rapidement cette caractéristique (peut-être corrigée par une gamme plus haute de la même marque ?) pour apprécier la présence physique des musiciens entre les enceintes.

Instruments « bombant le torse » : orgue, timbales, piano… le Way burine une image des acteurs très plaisante, à la fois robuste et dans des dimensions généreuses. 

Sur des partitions d’orchestre les violons perdent d’un peu de leur éclat, les matières d’instruments à cordes sont plus appuyées que prestement traduites mais on se rend compte en même temps que le plaisir est au rendez-vous d’une proposition typée et qui n’est pas corrompue par un manque de cohérence.

Auditeur B : il suffit de penser aux si nombreux éléments d’une chaîne qui font déborder les colonnes « restitution grise, mollassonne, anémique ou timide » du bilan objectif de la hifi pour se dire que le câble Way peut devenir une vraie bénédiction.

Et puis on a le droit d’aimer une grosse bagnole dont le principal attrait est de pousser.

Quoi qu’il en soit, la démonstration générale ne manque pas d’exaltation ni de bonne humeur en effet, mais en sachant que, pour cette rubrique on n’a pas non plus affaire au câble le plus rapide du monde.

J’en veux pour preuve des attaques de note un rien érodées à l’écoute de Relayer (Yes ? Yes) où les sonorités souvent pointues voire aiguisées du groupe anglais sont ici plus pleines, un rien plus rondes et moins incisives. En l’occurrence, c’est un service que nous rend le câble. Mais…

Réalisme des détails DIAMs 4 Vert

 

 

Expressivité :

Immédiatement emporté par l’allant des musiciens, on apprécie la franchise du câble Way. Peut-être force-t-il un peu le trait, mais il ne laisse jamais apathique. Bon nombre de disques apprécieront ce regain de dynamisme et de relief. 

Vous trouviez que vos écoutes devenaient ennuyeuses ? Le Silver 4+ soufflera un air vivifiant. 

Il le fait pour toute musique, rehaussant tout autant l’enthousiasme d’un quartet de jazz que celui d’un orchestre symphonique ou d’un groupe de Reggae engourdi à la ganja. Chacun appréciera si son tempérament joueur est toujours adéquat.

Palabras Urgentes de la Diva Susana Baca, produit par Michael League, membre important du groupe Snarky Puppy, livre une recette bienveillante, bien que peut-être un peu stérilisée. Même si le disque reste joli. Il lui manque une réelle patine ou un rien d’originalité.

D’un naturel démonstratif, le Silver 4+ n’aide pas le disque à dépasser des postures esthétiques pour toucher au cœur cependant que la mise en lumière prononcée fait capter l’intention des arrangements comme un costume tout neuf cousu de fil blanc. La mélancolie manque d’aspérité, ou d’ombre, c’est selon, alors que le frisson revient, franc et massif, irrigué d’une bonne rasade de testostérone. 

Quelques notes de El Camino des Black Keys donnent dès lors l’impression que des ailes ont poussé sur nos omoplates, ou d’être au volant d’une muscle car. Avec pour conséquence, l’envie de monter le volume, d’appuyer sur le champignon en ligne droite, pour apprécier le gras des saturations, ne se fait pas attendre. 

Revenir au câble d’entrée de gamme est cruel. Je mets rapidement fin à l’écoute, lassé par des morceaux trop entendus que la comparaison affadit immédiatement.

- Auditeur B ?

- Mmhhh ???

- Tu dors ?

- Non. Je suis d’accord.

Expressivité DIAMs 5 Vert

 

Plaisir subjectif :

Le Silver 4 + place l’auditeur au milieu d’une fête. 

Les évènements sont plus spectaculaires, l’ambiance plus vivante et plus joyeuse lorsque la musique s’y prête. Question plaisir direct, il renvoie la musique à ce qu’elle contient de primitif et qui nous touche tous. Le sucre est plus sucré, le relief plus accentué, l’énergie plus entraînante, etc.

À la manière d’un réhausseur de goût, il « booste » notre perception.

Plaisir subjectif : c’est selon mais ça peut facilement être DIAMs 6 Vert

 

Perception d’ensemble et Rapport qualité / prix

Insérer le câble Way Silver 4+ au cœur d’un système tient donc de la boisson vitaminée. Au risque d’en faire un peu trop dans certains systèmes, il pourra au contraire être un révélateur dans d’autres.

Quoi qu’il en soit, le Silver(ster) 4 + ne laisse pas indifférent. On l’adore ou on le boude, mais on ne pourra pas lui reprocher de doser ses vertus homéopathiquement.

Perception d’ensemble : DIAMs 5 Vert

Banc ecoute